Idée Fausse n°1 : « Les vêtements de location ne sont pas propres ni en bon état. »
Les entreprises de location de vêtements pour bébés sont toutes très rigoureuses en matière d’hygiène et de qualité. Avant d’être envoyés aux clients, les vêtements sont soigneusement lavés, désinfectés et inspectés pour garantir qu’ils sont en excellent état. Chez KinouLou, nous utilisons toujours une lessive hypoallergénique, assurant ainsi que les vêtements soient sûrs pour votre bébé.
Idée Fausse n°2 : « La location coûte plus cher que l’achat. »
Alors, cette idée n’est pas totalement fausse, car elle va dépendre de votre loueur. Mais en temps normal, si un vêtement d’occasion sur une marketplace coûte aux alentours de 3,00 €, nos forfaits chez KinouLou restent plus rentables et vous permettent, en plus, de n’avoir qu’un seul frais de livraison !
Idée Fausse n°3 : « La location est compliquée et prend trop de temps. »
En réalité, la location de vêtements pour bébé est conçue pour être simple et pratique. Une fois ton forfait choisi, tu sélectionnes les vêtements en ligne, les reçois directement chez toi, et les renvoies facilement après usage. Des études montrent que les systèmes logistiques modernes utilisés par les entreprises de location optimisent le processus, rendant l’expérience utilisateur fluide et rapide
Idée Fausse n°4 : « La location n’est pas écoresponsable. »
Il est vrai que certains aspects de la location, comme le transport et le nettoyage, peuvent générer des émissions de CO2. Cependant, les études montrent que la location reste globalement plus écoresponsable que l’achat de vêtements neufs. Par exemple, l’empreinte carbone d’un vêtement loué est généralement inférieure à celle d’un vêtement neuf en raison de la réutilisation et de la réduction de la production de nouveaux vêtements. De plus, chez KinouLou on optimise le processus logistiques, en utilisant des emballages réutilisables, pour minimiser leur impact environnemental.
NDLR : On a même trouvé une étude au sujet de la location et de son impact (bon c’est en anglais mais Google et la technologie peut vous permettre de la lire en 2024)